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Commentaires: 7
  • #1

    PJ (lundi, 07 juillet 2014 07:29)

    Test

  • #2

    PJTV (lundi, 07 juillet 2014 11:01)

    Pierre-Jean, tu peux être tranquille, ça fonctionne !! et encore bravo pour cette initiative

  • #3

    A LG (samedi, 12 juillet 2014 18:59)

    A quand de nouvelles photos ?

  • #4

    MB (mardi, 22 juillet 2014 19:07)

    Super bonne initiative que celle de mettre nos portraits -tels quels - avant et ... après. Ainsi les aller-retours (l'académie française accepte parait-il des allers-retours mais bon...) intérieurs nécessaires à la réorganisation des souvenirs en sont facilités et la remise à l'heure de nos pendules perso donc aussi.
    Bravo et merci. On attend avec impatience d'autres portraits...
    Michel B.

  • #5

    michel berlin (lundi, 28 juillet 2014 10:06)

    Je viens de publier 3 nouvelles photos trouvées au fin fond de mes tiroirs. deux concernent toujours l'annexe du dortoir des "grands" en l'année scolaire 62-63, l'année de ma classe de math élem. Une autre, toujours de cette année, est prise sur la scène du Régent à Digne.
    Là où nous allions parfois avec le Lycée à ce qu'on appelait à l'époque les JMF (jeunesse musicles de France je crois) , certains d'entre vous s'en souviennent peut-être... C'était l'occasion appréciée, parce qu'assez rare, d'une mixité avec le lycée de filles.
    Il y a aussi la photo du “mariage du siècle” de Coluche et Le Luron avant l’heure. On y trouve Chaillan (Francis?) Yasmine Zouari dit Zouzou en enfants de chœur, “Petit” Bernardy (il avait un grand frère et on les distinguait ainsi) dans le rôle du curé, moi-même et Etienne Granon dans le rôle des mariés. Une de nos “déconnades”, certes “ado”, mais gentillette de l’annexe.
    Puis, une autre photo souvenir des “locataires” de cette annexe du dortoir des “grands” en l’année scolaire 62-63. Il y a de bas en haut et de gauche à droite .Chaillan ‘'(Francis?) Etienne Granon , Michel Berlin, Chaillan Claude, (prénom?) Merry, et ???? (si quelqu'un se souvient qu'il nous précise).
    Enfin une dernière photo prise sur la scène du “Régent” à Digne, en avril 63, lors de la représentation des “Fusils de la mère Carrar” de Bertold Brech. Pièce mise en scène par Prosper Guedj, pion au Lycée et responsable du foyer laîque qu'il avait créé. Nous sommes allés aussi la jouer à Chateau-Arnoux et à Sisteron me semble-t-il.
    Sur la photo : de gauche à droite Marie-Gabrielle Gire dans le rôle de la mère Carrar, Yasmine Zouari dans le rôle du fils et Michel Berlin dans le rôle de Pedro, l’ouvrier, frère de la mère Carrar venu chercher ses fusils pour se battre dans les rangs des républicains contre les franquistes. A l’époque, j’étais loin d’avoir tout compris.... De plus, j’étais bien trop lisse et intello pour ce rôle d’ouvrier révolutionnaire qui, à mon avis de maintenant, aurait bien mieux convenu à la présence plus imposante de notre camarade Aliaga, qui plus est d'une famille, je crois, de réfugiés Espagnols. Jean-Louis Aliaga était sans doute trop timide et humble pour oser le revendiquer à Prosper....Dommage! Il parait que Marie-Gabrielle est décédée avant sa sœur, Françoise. Je regrette qu’à travers cette expérience enrichissante d’une année de préparation et de répétitions, nous ne nous soyons pas vraiment parlés. En effet, aussi timides l’un que l’autre sans doute, nous avons réussi, comme les enfants de maternelle, à jouer “à côté” sans jouer vraiment “ensemble” et sans jamais échanger personnellement.... Un exploit quand même que de passer si près à côté des gens sans leur parler vraiment. J’essaie de me rattraper depuis, que l'âge et le reste venant on prend conscience que le temps avance et surtout ... dans un sens unique. Pas de rattrapage possible!
    Dans cette pièce jouait aussi François Rosenfeld dans le rôle du curé et je crois Alain Cotti et peut–être aussi Maurice Gastaldi. Etienne Granon quant à lui, tenait le rôle du fils mort. On ne voyait que son corps et bien sur il n’avait eu aucun texte à apprendre. La vie et un infarctus au Cap Corse à presqu’une heure de l’hôpital de Bastia lui ont donné l’occasion, vers la cinquantaine, de ne plus jouer aucun autre rôle...
    Ne serait_il pas intéressant que ce commentaire en suscite d'autres en réaction ou en rebond.... pour que ce site, animé, soit celui des septuagénères dynamiques et vivants que nous sommes encore... Non?

  • #6

    Pasero jean Noël (dimanche, 07 septembre 2014 21:55)

    Super le site bravo à tous et à bientôt

  • #7

    Michel Berlin (lundi, 06 octobre 2014 10:53)

    (Ce message doit remplacer le précédent parti avant relecture et corrections)
    La photo de la prépa. militaire avait sans doute été découpée sur le Provençal de mai 1963. A cette époque, souvenez-vous, la préparation militaire était nécessaire à l'obtention d'un sursis d'incorporation au service militaire obligatoire pour tous les garçons. Il y avait ensuite pour tous les "trois jours" d'examens médicaux et psychologiques à Tarascon, en caserne. Aillaud, Burgard, Duvière, Escudier, Mirales , moi-même et quelques autres de St-Auban, nous nous étions ainsi retrouvés un dimanche au petit matin à cette épreuve de "rattrapage", soit par absence lors de la première session le week-end du 1er mai, soit par dépassement du temps limite. En effet, faute d'entrainement, beaucoup d'entre nous ont eu tellement de courbatures qu'ils étaient repérables dans le lycée à leur façon de marcher en canard les jambes raides au début de la semaine qui a suivi.